Paris 12 Juillet 1870
Monsieur A. Grünberg, Heidelberg
Je reçois votre lettre du 10 Ct et vous confirme mes trois dernières lettres des 9, 10 et 11 Ct adressées à Heidelberg.
Par même courrier, j’envoie les dessins de bracelets à Mme Ismalun, en lui fesant toutes les annotations que vous m’indiquez.
Rien n’a transpiré, encore, sur les dépèches de Prusse, on est cependant moins à la guerre qu’hier, la rente a baissé de 05ct à la première heure, mais elle ferme à fr. 70.60 avec une hausse de 2.20 sur le cours d’hier, ce qui fait supposer que la communication faite à la chambre, par le gouvernement, est des plus rassurantes.
Veuillez agréer, Monsieur, mes salutations empressées.